Pour être écouté à propos de l’environnement, il faut présenter des images attirantes.
Les ravages, les destructions, les blessures infligées à la nature, personne n’a envie de les voir. Les textes sur la pollution sont forcément critiques, souvent difficiles. Accompagnée de photos repoussantes, l’histoire va passer à la trappe. Elle ne sera regardée, suivie, qu’accompagnée d’images esthétiquement intéressantes, qui touchent tout le monde, et pas d’une façon absolument négative. Il faut de la surprise. Il faut montrer la beauté du diable.
Hans Silvester